Romans :

Derrière les ponts
édition 2018  
(disponible)
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Dans chaque ville, il existe ces quartiers éloignés du centre où les rues ne sont pas encore goudronnées, où le ruisseau sert de dépotoir. C’est là-bas « Derrière les ponts ». Il n’y a rien à voir. Mais tout est à vivre. Car l’enfance fait feu de tout bois pour construire l’imaginaire. De la période la plus lointaine, celle des toutes premières années, avec l’école et la maison, jusqu’à l’entrée dans l’adolescence avec ses découvertes de l’amour platonique et de la sensualité de l’été, en passant par les servitudes qu’impose l’économie domestique en ses lieux favoris (cuisine, cave, réserve alimentaire, W.-C., etc.) ou encore par ces espaces de liberté que sont les zones inventées pour le jeu, tous les jeux, Derrière les ponts explore, dans une langue riche de moments éclatants, l’ordinaire des jours, les émois du sexe et du cœur, tente de retrouver, non pas le temps perdu, mais ce qui était en train de s’élaborer peu à peu dans le silence de l’expérience intime et qui faisait sens à travers ce vécu.

Les années de cendres 
édition 2014 (épuisé) 
quelques exemplaires disponibles chez l'auteur via "contactez-nous"
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Après de nombreuses années passées à l'étranger, Michel Valat achète sur adjudication une école désaffectée dans les Cévennes. Celle dont sa Mémé lui avait parlé, quand il était enfant, celle qui avait été la dernière affectation de sa mère, avant qu'elle ne décède en le mettant au monde. Aujourd'hui, dans le village déserté, il ne reste que le vieux Marius Roche à avoir connu l'institutrice. Véritable mémoire du pays, il accompagnera les premiers pas de Michel et il le guidera vers cette mère inconnue. Mais une découverte fortuite dans l'école la lui fera rencontrer plus intimement que le meilleur témoignage. De cette longue quête du passé et des origines émergera lentement, parfois au prix de surprises douloureuses, une figure aimante, lumineuse, celle de l'absente de toujours, réincarnée dans le coeur de son fils.

Le monde de Juliette
édition 2015 (épuisé)
quelques exemplaires disponibles chez l'auteur via "contactez-nous"
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Chassée par la misère et l'ingratitude du sol, Juliette, comme beaucoup de jeunes filles du siècle dernier, a dû quitter sa Cévenne lozérienne et s'exiler vers les villes de la plaine, afin d'y être " placée ". La vieille dame qu'elle est devenue aujourd'hui vit au rythme lent de la maison de retraite qui l'accueille. Malgré ses forces qui déclinent inexorablement, chaque jour qui passe est un jour de plus, gagné sur l'échéance ultime. C'est la vie, encore un peu. Celle que chacun porte au fond de soi ; celle que le souvenir fait revivre. Alors, malgré la mémoire qui défaille, qui oublie, qui mélange les dates, les noms, les événements et les périodes, Juliette revit sa vie, avec ses peines, ses douleurs secrètes, mais aussi ses joies et ses bonheurs gagnés souvent sur l'hostilité du monde. Elle découvrira, et le lecteur avec elle, que la vie même la plus humble peut bien se révéler être un roman. En alternance, deux voix concertantes disent et interprètent cette lutte entre la promesse du néant et l'immensité vivante du souvenir.

       Le visiteur solitaire 2008 (épuisé) 
(en cours de réédition)
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Dans un village des hauts plateaux que hante encore le souvenir de la Bête, pays de solitude et de pauvreté, un fonctionnaire du ministère de L'agriculture, Faustin Juan, est dépêché pour tenter de comprendre les réticences du pays au progrès et au remembrement. Dans ce monde isolé, vivant encore à l'ère du char à bœufs et de la polyculture de subsistance il découvre un village pétri de terreurs, de jalousie et de ragots, aux habitants secrets et méfiants. Atmosphère tempérée par la beauté des paysages L'amitié amoureuse de Reine qui tient le café épicerie, et la complicité de Jean, le braconnier, mais aussi le désir trouble que suscitent Violette et Monique, deux jeunes écolières plus averties qu'il n'y paraît. Tous les ingrédients sont là pour qu'éclate le drame. Un roman qui traduit l'âpreté d'une terre aux hivers extrêmes, et la vie quotidienne d'un monde dont la noirceur est loin d'égaler celle du narrateur remarquablement dépeint par André Gardies qui signe là son 4e roman.

Le train sous la neige (2011) (épuisé)
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Un autorail est bloqué par la neige en montagne. Un homme étrange en descend et s'éloigne dans le brouillard. Il erre longtemps et finit par trouver refuge dans une maison qui semble abandonnée. Ce qu'il va découvrir dans cette demeure va bouleverser sa vie... C'est le point de départ d'un roman très singulier, passionnant, parfois angoissant où la plume de l'auteur semble sous l'emprise de forces mystérieuses, entraînant, par son écriture à la fois exigeante et poétique, le héros et le lecteur vers une chute aussi inattendue qu'inéluctable. 

Le vieux cévenol et l'enfant (2013)
      prix Lucien Gachon 2014
(disponible)
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Décidément, Albert Thérond n'aime pas ses nouveaux voisins. Ils lui ont piqué la ferme qu'il convoitait depuis des années, faisant s'évanouir ses espoirs de devenir le maître de Beauregard, ce hameau perdu sur les pentes du mont Lozère. Alors, il n'a de cesse d'empoisonner la vie de ces étrangers, qui sont, comble du comble, presque noirs...
Jusqu'à son accident, une nuit de brouillard. Sans l'intervention de ses voisins, il aurait passé l'arme à gauche. Peu à peu, durant sa convalescence, il va apprendre à mieux les connaître, oubliant presque leur couleur de peau. Et puis, surtout, il se sent de plus en plus concerné par les violences et les agressions dont ils sont victimes. Si bien que, lui aussi, il finira par être l'objet de la même haine...

La source du diable (2014) (épuisé)
  (variante du Train sous la neige)
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Tout commence par une froide journée d’hiver... Un autorail est bloqué sur la voie en pleine tempête de neige, sur les hauts plateaux lozériens. Un homme, Marc Maugrain, en descend et s’enfonce lentement à travers les congères. Sans aucune raison apparente.

La  baraque du cheval noir (2016)
(épuisé)
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Ce n'est pas par hasard que Jacques Torrant va séjourner au cour du Massif Central dans une ferme isolée en lisière de forêt où se cache une tourbière.  Ce lieu perdu, en déshérence depuis une décennie, loué épisodiquement par l'administration des Ponts et Chaussées à quelque estivant en mal de solitude, lui évoque un être cher de son enfance, l'oncle Paul, disparu mystérieusement aux alentours. À propos de cette maison qu'on appelle « La Baraque du cheval noir » circulent quantité d'histoires, de rumeurs, d'intérêts...

Je t'écris du Gévaudan, ma Lozère... (2017)
   André GARDIES – Jacques MAUDUY 
 (disponible)
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Les lettres d’André et Jacques à leur ami expatrié au Québec disent ces mutations radicales vécues en Gévaudan, la Lozère. La raréfaction des paysans, l’adaptation des agriculteurs et des éleveurs, l’inconfort et le confort « moderne », les chemins et l’autoroute, le train et « l’auto », les barrages et l’eau, la chasse et le Parc, les champignons et les fromages, la « ville » et le tourisme. Tout change dans un paysage faussement immuable : les chaos de granite, les serres cévenoles, les abrupts calcaires, les lacs, les landes à bruyères, les prairies et les montagnes. Immuable, mais le couvert forestier grignote les terres abandonnées, les versants et les sommets ! Même les vaches ont changé !
Des photographies familiales anciennes et récentes (ces photos que l’on regarde avec nostalgie sans jamais les publier), des cartes postales, illustrent de petites histoires ordinaires : le vieil oncle et sa jument, la sieste de Lucie à l’ombre de la boule de foin, le petit berger, le randonneur, la faneuse… Ces petits contes mélancoliques et gais n’insultent jamais  le présent. Le nouveau porte en lui sa charge de passé : les mentalités, la religion (ici, catholiques et huguenots), les traditions et les techniques. Si les vents, la pluie, la neige et le froid habitent ces historiettes, le soleil y est toujours lumineux.

Les lys blancs de Clara (2018)
(disponible)
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L'ambulance du SAMU a ramené Jean Robin à l'hôpital. Il a été récupéré inconscient sur la voie publique. En soins d'urgence  il va sombrer dans le coma. A son réveil  il ne se souvient plus d'une partie de sa vie. Peu à peu avec l'aide de la psy il va récupérer.

 Florence l'accompagne tout le temps de son hospitalisation. Jusqu'où devra-t-elle aller pour l'aider à retrouver celles dont il a perdu la trace. Elles sont là, toutes proches, mais il ne peut les saisir. Toutes ? Non, une seule : Clara ! Florence s'avance, ne s'assied pas tout de suite. Au premier coup d'oeil, elle reconnaît les photos qu'ils ont regardées ensemble, signées au dos : Clara est revenue ! Clara ! Le fantôme s'est incarné. Par la musique, la voix, la chanson.

..Le roman nous fait parcourir un long couloir de sentiments dont on ne peut s'écarter. Saudade, un chant lent et profond, une délicieuse nostalgie, que le fado restitue si bien.

Blanche, châtelaine du Gévaudan (2020)
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Valbrèges, le château merveilleux que découvrit Paul Fréval quand il était enfant et qu’il n’a jamais oublié. Des années plus tard, comme un rêve qui se réaliserait, il y séjourne en résidence d’écriture, invité par la comtesse Blanche Maufoid, née de Ségouzac. Outre le roman sur lequel il travaille, Paul Fréval devra réaménager la vaste bibliothèque familiale et faire le tri dans les papiers et documents du défunt Marquis, le père de Blanche.
La bonne trentaine, de condition modeste, il ne faut à Paul que quelques jours pour s’adapter à son nouveau cadre de vie, accomplir sa tâche tout en prenant soin de tenir le journal de son séjour. Régulièrement, la journée finie, il partage café et digestif avec son hôtesse dans le petit salon. De conversations en conversations il devient bientôt son confident avant d’en être l’amant en dépit de leur différence d’âge.
Mais l’implication de chacun dans cette relation amoureuse ne tarde pas à se déséquilibrer…

Je t'écris en route vers les Cévennes et le Gévaudan (2021)
(disponible) 
Andre Gardies-Jacques Mauduy
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Parcourues à pied, à bicyclette, en moto , en voiture ou en charrette, il est des routes  qui nous deviennent si familières qu’elles finissent par ressembler aux meilleurs amis. Chaque kilomètre arpenté, chaque lieu rencontré, chaque bourgade traversée sont autant de souvenirs et d’émotions, aussi colorés et vivants que les pages d’un livre. 

De Nîmes à  Alès, Florac, Mende, Sauve ou Le Vigan, ceux qui aiment les Cévennes et le Gévaudan l’attendaient. « Je t’écris en route vers les Cévennes et le Gévaudan » est paru. Cinquante lettres à la rencontre de Diane, des Compagnons du Devoir ; d’Auguste, de gares, de récifs, de séquoias, d’une ânesse, de la Bête ou encore de fourches en micocoulier…

Bref, plein d’aventures sur 176 pages et  plus de 300 illustrations, au format italien.

La promesse de la mer (2022)
(disponible)
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Pourquoi Romain Falcolon, cet ancien cameraman de la Calypso, a-t-il fini par accepter de tourner ce film sur la pêche artisanale traditionnelle au Grau ? Lui qui depuis bientôt cinquante ans s'évertue à ne plus remettre les pieds dans cette station balnéaire qui accueillit son enfance et son adolescence.
Besoin de renouer avec ce temps enfui ? Dernière réalisation avant la retraite ?
Repérages, contacts, premières prises de vues, l' affaire devait être rapidement  menée, mais une série de mystérieux courriels viennent...

          éditions antérieures :

2008

                               2008

                  2005                                       2012                                               2002

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